18
fév.
au
27
fév.
spectacle Culture
Théâtre alsacien de Schiltigheim : Un dess alles weije de crise

Spectacle surtitré en français

Le Théâtre Alsacien de Schiltigheim présente une UN DESS ALLES WEIJ€ DE CRIS€ !
Mise en scène :
Christophe WELLY
Spectacle surtitré en français

L’Association du Théâtre Alsacien de Schiltigheim retrouvera son public pour sa deuxième pièce de la saison 2021/2022 en février 2022, par la présentation d’une autre truculente comédie : UN DESS ALLES WEIJE DE CRISE

Une comédie de Joël IRION
Durée approximative : +/- 2 h 15

DATES


Représentations :

  • Vendredi 18 et samedi 19 février ainsi que vendredi 25 et samedi 26 février à 20h
  • Les Dimanches 20 et 27 février à 15h


Au BRASSIN, 38 rue de Vendenheim, à Schiltigheim


Réservation téléphonique :

A partir du 31 janvier 2022 au 06 98 60 17 31
du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h.


Retrait des billets au Brassin :

Les lundis 31 janvier – 07 et 14 février 2022 de 14h à 17h

Les mardis 01 08 et 15 février 2022 de 14h à 17h

Les jeudis 03 – 10 et 17 février 2022 de 14h à 17h


BILLETTERIE EN LIGNE
 

Les tarifs :
Places numérotées / Gradin ou chaise

  • Tarif normal : 12€ (par spectacle)
  • Tarif groupe à partir de 10 personnes : 10€
  • Tarif enfant jusqu’à 12 ans : 6 €
  • Tarif amicale / CE : 10€


Distribution des rôles
:
Marlène GAASMAN Yolande DUCHMANN

André GAASMAN Joël IRION

Priscilla HOHL Michèle MEYER

Marlyse MUCKENSTURM Nadine VOLKRINGER

Jean GÜCKLOCH Christian MODRY

Vladimir-Piotr KOULASENSKI Christophe WELLY

Philibert GELDREICH Alain CANTIN

Robert ETREK Thierry MATHIA


Le synopsis
:
La crise financière qui traverse l’Europe a fait bien plus de victimes que l’on s’imagine.
André et Marlène Gaasmàn en sont la preuve vivante. Retraités avec une pension on ne
peut plus ridicule, ils ne parviennent pas à boucler leurs fins de mois et s’enlisent
inévitablement dans le surendettement. Les idées pour se sortir de cette impasse ne
manquent pas, mais choisirontils la bonne ? Vous rajouterez à tout cela un
propriétaire peu scrupuleux, une assistante sociale véreuse et des satellites aux
caractères bien forgés. Le temps aura toutefois eu raison de la « resocialisation » du
couple Gaasmàn mais attention aux revirements inattendus ! Rira bien qui rira le… et
ce n’est même pas sûr !


Le mot de l’auteur :
« Le changement, c’est maintenant » qu’il disait! Voilà !…. c’est fait !… On est en plein dedans et on ne peut pas y être plus. Il y a quelques années, j’ai fait le pari de
rire de tout, sans plaggia, sans politique, sans interdit mais sans toutefois jamais me moquer ou blesser qui que ce soit. Le sujet du surendettement abordé dans cette pièce, pour le moins grave ne l’occultons pas, je m’empresse de le tourner à la dérision avant que cette comédie, à grand renfort de crise, ne se transforme véritablement en tragédie. En cours d’écriture, j’ai rebaptisé le rôle féminin principal en « Marlène » en hommage à Marlène DUFLOT, auteur de scénarios en dialecte et metteur en scène de la troupe d’Erstein. Marlène m’a fait l’immense plaisir de mettre en scène ma toute première pièce. Marlène s’est éteinte en avril 2012.